La dualité
Ce mot peut parfois sembler provocateur. Sa sonorité rapproché du mot « duel », tend vers la définition d’opposer deux parties l’une contre l’autre dans le but de trancher un vainqueur. La « dualité » est autre chose. Elle laisse la mobilité, les teintes et les tons prendre de l’existence.
La dualité c’est la rencontre des extrêmes. La réalité c’est qu’il n’y a ni blanc ni noir dans la vie. Vivre dans la dualité c’est de ne rien exclure. Une part de moi est homme, une part de moi est femme, des parties de moi représentent la force de l’homme et d’autres la sensibilité de la femme. Je ne suis ni terre ni ciel, j’ai besoin de m’encrer et de m’ouvrir à l’espace. J’ai besoin des deux sphères. Je suis une mère et une jeune fille à la fois. Je vis des tristesses et des victoires en alternance. Vivre avec cette dualité c’est vivre en respectant le mouvement de la vie.
D’une crête en équilibre, statique solide,
jusqu’au torrent, aquatique, mobile.
lenteur du matin, puis un envol soudain,
tristesse aspirée par l’espoir,
victoire dissout dans le calme plat.
Souplesse
être dans le mouvement
ou être l’observateur,
tous les rôles sont porteur de lien
Une opinion déstabilisante, puis un concerts de croyances rassurantes
D’une constance émotionnelle et plouf dans l’arc en ciel
Mais surtout
Réveil d’une journée plein de sens.
Nous vous souhaitons un mois de juin basculant entre le jour et la nuit, les amis et les moments de solitude, les grillades et les journée de jeûne !